Finie la pénurie de masques durant la pandémie de Covid-19. Des filières se sont constituées pour fournir les entreprises. Reste à choisir le bon modèle et le bon réseau de distribution pour équiper vos salariés.

Entré en vigueur dès le début du confinement suite à la pandémie de Covid-19, le forfait mobilité durable offre une franchise de cotisations sociales aux employeurs qui encouragent leurs salariés à utiliser les modes de déplacement peu énergétivores, comme le vélo ou le covoiturage.

Qu’ils soient en poste, en télétravail, en activité partielle à cause de la crise sanitaire due au Covid-19, les salariés sont directement affectés par la crise sanitaire. Un sondage OpinionWay pour le Medef permet de cerner leur perception de ce mode de travail.

Paiement de l’impôt sur les sociétés, approbation des comptes annuels, assemblées générales… Du fait de l’état d’urgence sanitaire, les entreprises sont temporairement autorisées à déroger au calendrier habituel.

Pour donner de la flexibilité aux entreprises touchées par la crise sanitaire, les règles encadrant la prise des congés, des jours de repos et la durée du temps de travail sont temporairement assouplies.

Alors que les entreprises se préparent à rouvrir leurs portes, la question du droit de retrait risque de se poser à nouveau. Quand un salarié est-il fondé à exercer ce droit ? À quelles conditions ? Que peut faire l’employeur dans ce cas ? Réponses.

Face à l’ampleur de la crise sanitaire et de ses conséquences économiques, l’État met en œuvre un plan de soutien massif pour permettre aux entreprises de continuer à accéder aux financements.

Le gouvernement a précisé par ordonnance la portée du dispositif exceptionnel d’activité partielle, mis en place suite aux mesures de confinement. Son champ est fortement élargi et assoupli par rapport au dispositif d’origine.

Les effets de la crise sanitaire en cours pourraient impacter les délais de paiement inter-entreprises. Une étude de la Banque de France montre que les retards de paiement clients entraînent un risque de défaillance limité, comparé aux autres facteurs de risque.

Les défaillances d’entreprises ont baissé de 4,8 % en 2019. Elles affichent leur niveau le plus bas depuis 10 ans. Seule ombre au tableau : les défaillances de sociétés de plus de 50 salariés sont en hausse.