La démarche Carbon Agri a été officiellement labellisée bas carbone par le ministère de la Transition écologique. Elle ouvre la voie à la rétribution des exploitations améliorant leur bilan carbone.

La baisse de consommation de bœuf et de porc est compensée par la hausse de la consommation de volaille, tandis que plats élaborés et restauration hors domicile, en croissance, compensent la baisse des achats de produits bruts à cuisiner.

L’institut national de la recherche agronomique (Inra) a implanté un verger multi-espèces et circulaire de 1,6 hectare conduit sans aucun intrant, ni bio, ni biocontrôle. Objectif : pousser la biorégulation dans ses derniers retranchements.

Les conseillers et techniciens agricoles au contact quotidien des agriculteurs et éleveurs ont la possibilité de rejoindre le réseau Agri Sentinelles dans le but de s’impliquer dans la détection de signaux du suicide et dans sa prévention.

Le projet d’arrêté destiné à remplacer celui du 4 mai 2017 va introduire, à compter du 1er janvier 2020, des Zones de non traitement (ZNT) par pesticides, à proximité des habitations, incompressibles à 10 m pour certains produits, mais réductibles à 5 m ou 3 m selon les cultures, moyennant des dispositifs antidérive.

Selon une étude américaine, d’ici à 2040, la part de la viande conventionnelle ne pèserait plus que 40 % du marché mondial de la viande, contre 25 % pour les protéines végétales et surtout 35 % pour la viande cultivée en laboratoire.

Les modèles de prévisions météorologiques saisonnières devraient aider les agriculteurs à opérer des choix stratégiques en matière d’assolements, de variétés, de dates de semis ou encore de gestion de la ressource en eau.

Le gouvernement s’est fixé l’objectif d’atteindre « zéro artificialisation nette » à l’horizon 2030. Une trajectoire qui passe par la densification de l’habitat et la renaturation des espaces artificialisés laissés à l’abandon, ainsi que par une modification des règles d’urbanisme.

Forte d’une cinquantaine d’agriculteurs, la coopérative Sainfolia porte depuis 10 ans le renouveau d’une légumineuse aux vertus agroécologiques multiples. Résistante à la sécheresse et mellifère, sa valeur nutritionnelle est comparable à celle de la luzerne.

9,5 % des fermes françaises sont certifiées en agriculture biologique (AB), selon l’Agence Bio. Le cap de 2 millions d’hectares a été franchi en 2018, ce qui représente 7,5 % de la surface agricole utile (SAU) nationale.