Les recherches s’intensifient sur les Stimulateurs des défenses des plantes (SDP), des substances capables de promouvoir un état de résistance significativement plus élevé par rapport à une plante non traitée. Mais les résultats en conditions de production restent plus mitigés qu’en conditions contrôlées.

Selon une récente enquête, le label Agriculture biologique (AB) l’emporte sur d’autres labels tels que la Haute valeur environnementale (HVE), notamment sur les enjeux de notoriété et de confiance.

Aux prises avec une contraction de leur marché, les Appellations d’origine protégée (AOP) bordelaises sont contraintes de se réinventer avec comme voies exploratoires, outre les efforts de promotion, la diversification, la mise en œuvre de volumes régulateurs ou encore l’arrachage.

Dans le Beaujolais, la cave coopérative Vinescence a créé une Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) faisant appel au financement participatif pour assurer le renouvellement des viticulteurs et la pérennité du vignoble.

La mission Prospective de FranceAgriMer et l’Institut Agro Montpellier ont, dans une étude, dégagé quatre scénarios possibles pour le futur de la filière française des vins IGP à l’horizon 2040/2045.

Lancé en 2018 par le Collectif Nouveaux Champs, le label Zéro résidu de pesticides (ZRP) est le porte-étendard d’une troisième voie entre agriculture bio et agriculture conventionnelle. Une ligne de crête ardue, tant au plan technique que pédagogique, mais dont les scores de vente et de notoriété ne cessent de progresser

Selon l’Institut français de la vigne et du vin (IFV), beaucoup de travail reste à accomplir pour faire accepter par le marché les nouveaux cépages résistant aux maladies cryptogamiques, notamment dans les vignobles les plus ancrés sur les cépages traditionnels.

Oxygène, sulfites, température : c’est le triptyque fondamental pour assurer la conservation des vins rosés, selon des essais menés au Centre du rosé sur des rosés de Provence et à la cave expérimentale d’Inter Rhône.

Deux entreprises françaises ont chacune développé une nouvelle technologie de pulvérisation apte à réduire à la portion congrue la dérive de produits phytosanitaires, un verrou technologique en viticulture.

Le règlement européen 2021/2117 modifie les règles d’étiquetage des vins et de ceux aromatisés et rend obligatoire la communication de la liste des ingrédients et la déclaration nutritionnelle de ces produits après le 8 décembre 2023. L’étiquette électronique sera autorisée.